Poème d'un grand poète turkmène d'Iran: ode au cheval
Le cheval pur race
De Meshkin Gillîche (1852-1900)
Aujourd'hui, j'écris pour te rendre hommage
Hommage à tes beautés
Oh cheval, comme l'or de ta selle et le rouge de ton gelaï
Brillent quand tu galopes !
Le vent frappe des épaules
Ta renommée atteint les Rois
Tes crins sont comme le serpent
À la ligne d'arrivée, tu minaudes en jeune fille
À l'assaut, tu démarres comme le lièvre
Tu précèdes tout le monde comme le vent de l'aube
Tes jambes et ton cou sont longs
Il faut caresser tes hanches
Tu es chasseur de gazelles des steppes
Les Khans se promènent avec toi
Tes yeux sont pareils aux étoiles du ciel
Tes oreilles droites comme une gerbe
Le jour du jugement, tu es liqueur de Paradis
Faisan des montagnes noires
Nul autre cheval ne te rattrapera avec ses jambes
Il faut des ailes et des plumes
Ni contre un pigeon, ni contre un bouc
Je ne t'échangerais
Tu vaux cent chameaux et chamelles chargés de trésors
Mille Toumans d'argent
Tu portes chance à ton cavalier
Il te donne, en place d'eau, lait, pain et miel
Ta selle est d'or fin et ton beau gelaï
Quand je te monte, tu es le tapis volant de Suleiman
Tu inspires le monde
Tu te ris des distances
Sur la terre, tu galopes et dans le ciel tu voles
Accompagnant les héros
Matajim, je crois que tu iras au Paradis
De Meshkin Gillîche (1852-1900)
Aujourd'hui, j'écris pour te rendre hommage
Hommage à tes beautés
Oh cheval, comme l'or de ta selle et le rouge de ton gelaï
Brillent quand tu galopes !
Le vent frappe des épaules
Ta renommée atteint les Rois
Tes crins sont comme le serpent
À la ligne d'arrivée, tu minaudes en jeune fille
À l'assaut, tu démarres comme le lièvre
Tu précèdes tout le monde comme le vent de l'aube
Tes jambes et ton cou sont longs
Il faut caresser tes hanches
Tu es chasseur de gazelles des steppes
Les Khans se promènent avec toi
Tes yeux sont pareils aux étoiles du ciel
Tes oreilles droites comme une gerbe
Le jour du jugement, tu es liqueur de Paradis
Faisan des montagnes noires
Nul autre cheval ne te rattrapera avec ses jambes
Il faut des ailes et des plumes
Ni contre un pigeon, ni contre un bouc
Je ne t'échangerais
Tu vaux cent chameaux et chamelles chargés de trésors
Mille Toumans d'argent
Tu portes chance à ton cavalier
Il te donne, en place d'eau, lait, pain et miel
Ta selle est d'or fin et ton beau gelaï
Quand je te monte, tu es le tapis volant de Suleiman
Tu inspires le monde
Tu te ris des distances
Sur la terre, tu galopes et dans le ciel tu voles
Accompagnant les héros
Matajim, je crois que tu iras au Paradis
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